Liridon Zenelaj
Kata
Dans la catégorie des juniors, Liridon n’était pas en forme et manquait beaucoup de stabilité. Il fut donc éliminé lors de son premier tour (2-3). Son adversaire a perdu le tour suivant, donc pas de repêchage pour Liridon.
Kumite
Dans la catégorie des juniors (-55kg), Liridon semblait avoir retrouvé sa forme et a remporté son premier combat (5-0) contre l’Allemand Daniel Scheerer. Il s’est ensuite incliné (0-4) face au futur vainqueur, le Suisse Dominic Rupp. Dans son repêchage, Liridon a manqué de combativité mais arrive quand-même à placer un mawashi chudan. Le résultat : victoire 2-0 et la troisième place est en poche. Liridon doit absolument avoir plus de confiance en lui, car il a une vitesse et une allonge incroyable dont il ne profite pas en compétition.
Ylber Zenelaj
Kata
Dans la même catégorie, Ylber s’approche petit à petit du niveau qu’il avait avant sa fracture au bras. Bien qu’il fut éliminé (1-4) lors de son premier kata, son travail était loin d’être mauvais. Il doit continuer à travailler les détails qui, maintenant, lui coûtent encore trop de points. Ylber a ensuite perdu son premier repêchage (1-4). Son résultat est logique après le peu d’entraînements explosifs qu’il a fait. Bientôt il retrouvera son ancien niveau…
Flamur Hamiti
Kata
Toujours chez les juniors, Flamur a perdu son premier tour. Son Anan n’était pas assez explosif face à l’Allemand Selim Has. Dommage, car il aurait pu aller plus loin.
Kumite
Chez les juniors (+76kg), Flamur était en super forme et a démarré comme une fusée. Après 2 secondes de combat il avait déjà marqué son premier point. Le match était serré et ce sont finalement des erreurs d’arbitrage qui lui ont fait perdre le combat. Son adversaire n’est monté qu’en quart de finale est Flamur n’a donc pas été repêché. Dommage car un podium était possible…
Conclusion
Bien que les prestations des Everois n’étaient pas des meilleures, les coaches et les compétiteurs étaient vraiment dégoûtés de l’arbitrage pro-Allemand. Pour citer le philosophe Sénèque : « Errare humanum est. Perseverare diabolicum! »